Perth, quand t’arrives et que tu vois qu’il pleut sur le
tarmac, tu pleures.
Perth quand tu sors de l’aéroport une grosse heure après
l’atterrissage et que tu vois que la pluie laisse juste place aux nuages puis, plus
tard en journée, au soleil, tu te dis que le temps change vite et que c’est
cool.
Puis tu comprends finalement que Perth, c’est venteux.
Nous voilà dans une ville typiquement occidentale façon
Amérique du Nord/Anglo-saxonne. Le centre ville est un downtown de buildings
érigés par des sociétés bancaires. C’est piéton juste à côté. Et très vite, le
reste part sur une banlieue très étendue avec un « poumon » de
verdure au milieu de tout ça, Kings Park.
Tiens d'ailleurs, en parlant de poumons, niveau pub, ils n'hésitent pas les gars, ils oz ! |
Par son climat, elle a un côté San Francisco, par sa structure
c’est du Montréal-New York pure souche.
Premier arrêt au Coolibah lodge, auberge de jeunesse où il
fait bon avoir des boules Quiès. Enfin, la première nuit, il aurait pu se
passer n’importe quoi. J’ai dormi comme un loir.
Pas mal les cacatoès ! |
Enfin, voilà, ville sympathique pour une première approche
cantonnée à son centre, des petits parcs parfois suffisamment bien fichus pour
permettre d’attirer des bestioles. Ça tombe bien, ça m’intéresse. Ce qui est
surprenant niveau faune et flore dans cette ville (peut-être cela s’applique au
pays, je ne sais pas encore), c’est que tout fait penser à un écosystème
tropical alors que l’on est très loin de l’équateur. Les oiseaux qui crient
semblent sortir de la jungle. De plus, ils en ont le look coloré. Quant à la
végétation, elle présente une forme qui fait vraiment penser à la mangrove, aux
eaux croupies où règnent les averses fréquentes. On a une sorte de mélange
entre le Sauvage et l’Urbanisé assez étonnant.
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