Que dire à propos du coin là-bas ?
On y trouve majoritairement des champs de blé de plusieurs
centaines d’hectares (mais la production reste néanmoins faible puisqu’il
suffit à un français de posséder 10 hectares de blé pour produire autant qu’un
australien ayant 50 hectares de culture).
On y trouve de nombreux lacs mais laisser tomber l’idée de
baignade, ils sont tous salés et souvent à sec.
Quand on y trouve de l’eau, ce n’est qu’en faible surface, juste de quoi
mettre les chaussures. Par contre, à l’époque des grandes pluies, les niveaux
sont sévèrement élevés et les routes inondées sur certaines portions.
On y trouve évidemment du bush, du petit comme du grand,
élevé ou non ; des arbres, isolés ou non, pouvant former la limite entre
deux champs.
On y trouve des réserves d’eau, seules zones aquatiques du
secteur où, à part écrevisses et grenouilles, oiseaux et marsupiaux peuvent s’abreuver
ou se reposer.
On y trouve des tracteurs carbonisés, rouillés et abandonnés
entre deux champs, des maisons abandonnées et du métal traine sous diverses
formes.
Surtout, on y trouve des couchers de soleil pas dégueu
quasiment à chaque fin de journée.
Alors, le mieux, dans tout cela, c’est de vous laisser
contempler l’ensemble vous-mêmes.
ça, c'est du champ ! |
Le lac salé de Dumbleyung, on s'y amusé à y battre des records de vitesse motorisés |
Le lac salé de Taarblin |
Du bush avec un sacré nid en prime |
Même les nuages pluvieux ont des couleurs incroyables |
Parfois, la lune se lève, pleine, juste avant qu'à l'opposé le soleil se couche. |
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