Mardi, le cuisinier des indiens, le jeune Niles de 18 ans, quitte
ses compatriotes pour retourner à Mahé avant de retourner en Inde mi-février.
Je crois que les autres sont assez contents de son départ parce que même si je
le trouvais sympa, les autres disaient toujours de lui « bad cook ».
Pas très flatteur. En tout cas, j’ai pu goûter son « pain », le chapati,
il était bon, son riz, épicé, il était bon et son thé, brûlant, il était bon.
Mais je ne peux dire cela que depuis ma culture occidentale. Pour les autres
indiens, peut-être que niveau saveur et/ou texture, ça manquait de quelque
chose.
Ce jeudi, nous accueillons Bernard, seychellois chargé de la
maintenance. Il était passé une journée de décembre pour découvrir les lieux.
Le voilà maintenant installé parmi nous. Il va s’occuper des petites
réparations, plomberie, électricité,…
Samedi, nous accueillons le nouveau « cook » des
indiens. Je ne le saluerai vraiment que 58 heures plus tard et saurais qu’il
s’appelle Ganesh. Apparemment, il cuisine mieux que l'ancien, enfin plus épicé (ce qui semble vouloir dire mieux en indy).
J’ai moins de choses à raconter que d’habitude et ça devrait aller dans
ce sens, excepté quand, si je trouve l’occasion, j’irais visiter d’autres iles.
Ça y est, je me suis acclimaté au rythme, chaotique, seychellois.
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