jeudi 25 décembre 2014

Lundi 10 novembre au samedi 20 décembre 2014 : Tincurrin partie 3 : les paysages



Que dire à propos du coin là-bas ?

On y trouve majoritairement des champs de blé de plusieurs centaines d’hectares (mais la production reste néanmoins faible puisqu’il suffit à un français de posséder 10 hectares de blé pour produire autant qu’un australien ayant 50 hectares de culture).

On y trouve de nombreux lacs mais laisser tomber l’idée de baignade, ils sont tous salés et souvent à sec.  Quand on y trouve de l’eau, ce n’est qu’en faible surface, juste de quoi mettre les chaussures. Par contre, à l’époque des grandes pluies, les niveaux sont sévèrement élevés et les routes inondées sur certaines portions.

On y trouve évidemment du bush, du petit comme du grand, élevé ou non ; des arbres, isolés ou non, pouvant former la limite entre deux champs.

On y trouve des réserves d’eau, seules zones aquatiques du secteur où, à part écrevisses et grenouilles, oiseaux et marsupiaux peuvent s’abreuver ou se reposer.

On y trouve des tracteurs carbonisés, rouillés et abandonnés entre deux champs, des maisons abandonnées et du métal traine sous diverses formes.

Surtout, on y trouve des couchers de soleil pas dégueu quasiment à chaque fin de journée.

Alors, le mieux, dans tout cela, c’est de vous laisser contempler l’ensemble vous-mêmes.

ça, c'est du champ !

Le lac salé de Dumbleyung, on s'y amusé à y battre des records de vitesse motorisés

Le lac salé de Taarblin
Du bush avec un sacré nid en prime








Même les nuages pluvieux ont des couleurs incroyables


Parfois, la lune se lève, pleine, juste avant qu'à l'opposé le soleil se couche.

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