dimanche 25 janvier 2015

Wineyard ou le travail au noir pour du vin blanc

Un truc traditionnel du backpacker en Australie est le travail au noir.

Le fruit-picking ou n’importe quel job dans une ferme est souvent le meilleur moyen de profiter de l’économie australienne sans en subir ses retraits d’impôts. Bien sûr, c’est illégal, bien sûr, ça fait partie du pack « backpacker en Australie » que de bosser au noir (incluant les autres règles tacites « Je me suis fait arnaquer à mon fruit-picking », « J’ai fait un road-trip », « J’ai vu un kangourou, un koala et même cet autre truc bizarre dont je ne me souviens pas du nom », « J’ai conduit un Van », « J’ai fait un barbecue », « J’ai dormi dans ma voiture », « Je me suis pris une amende parce que j’ai dormi dans ma voiture », « je me suis pété le dos parce que j’ai fait du fruit-picking ». Il y en a sûrement quelques autres et bien évidemment, il est conseillé d’en éviter certains.

Bref, le travail au noir, selon où vous atterrissez et selon la saison, peut aller d’une simple journée de travail à plusieurs semaines. Pour certains, c’est l’extrême bon plan puisque pour un bon travail en ferme, il est possible de se faire 700-800 $ par semaine, ou au moins 120$ par journée, le paiement pouvant être de 15 à 20$ l’heure. Si vous avez plus, c’est un bon (pour vous) patron escroc (pour l’état) que vous avez.

La plonge en restaurant est aussi un classique du travail au noir.

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