vendredi 13 octobre 2017

Jeudi 12 octobre, fin du séjour en Meta

Aujourd’hui, ce jeudi, c’est le départ de La Macarena à midi. Cela nous laisse suffisamment de temps pour une dernière petite randonnée de l’autre côté du rio Guayabero. Nous allons à Caño Cristallitos, juste à côté de la ferme d’hier. Le soleil frappe à nouveau de toute sa puissance et la chaleur monte vite.  Le chemin s’effectue à un moment dans un ruisseau au faible débit qui se jette dans ce caño. Là aussi, des plantes rouges et peut-être bien le plus endroit du trip. Je ressens vraiment tout le mélange de couleurs dans ce paysage. Le jaune des cerros (ces trous d’eau) avec en arrière-plan le rouge violacé des Macarinea pris en sandwich par le vert de la végétation et un le ciel bleu au-dessus.

L’endroit est vraiment plaisant et là encore, ce sentiment que je sors des sentiers battus, classiques, empruntés par les autres visiteurs. Nous croiserons tout de même un autre groupe mais nous sommes loin de l’affluence de Caño Cristales. Au fait, le Cristallitos ne se jette pas dans le Cristales, les deux cours d’eau font leur vie en parallèle.


Il est temps de rentrer ensuite, préparer les affaires (et se doucher un coup) en trente minutes, manger, boire un dernier vers de lulo (c’est pas mal bon ce jus de "presqu’orange") et vers treize heures, après avoir payé une dernière taxe de 6000 COP, de prendre l’avion pour Bogota.
Prochaine étape, plus de 17 de bus pour aller à Santa Marta au nord et faire le trek de 4 jours pour la Ciudad perdida.

La zone inondée sur la gauche est propice à voir un anaconda. Bon, on n'ira pas par là de toute façon.




La plante en son complet.

Le ruisseau que nous remontons

Tout le monde met un gilet, même les locaux quand ils traversent le fleuve avec ce système de bateau attaché à une corde.

Qui veut des poussins ?

Les chevaux broutent dans le parc

Nos guides nous ont offerts deux peintures que chacun a fait. C'est celle de Diana.

Et là, celle de Jesus. Ce sont les deux soeurs colombiennes qui repartiront avec. Moi, je ne peux pas en prendre une et les autrichiennes non plus apparemment.

Nous ne sommes pas les seuls à décoller.

Vue de La Macarena et del rio Guayabero qui le bore

Je reconnais, c'est là où on a vu les dauphins.

Les abords de Bogota avec un terrain de golf sur la droite.

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